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Paysans Apiculteurs

SOS ABEILLES recueil essaims vagabond au alentour de Rennes (35) Ille et vilaine.

 

2003 : L’homme singe était sûrement prédateur de miel par la suite. Il a  été protecteur, multiplicateur et gardien d’abeilles. L’ancien a vu les troncs ensuite les bruscs et les binels. Depuis la ruche à cadre, la convoitise du profit, fait aller de l’avant. Comme pour l’agriculture, on est passé de l’apiculture simpliste à l’apiculture industrielle, au matériel sophistiqué. L’apiculteur transhumant est devenu un apiculteur varroasé puis un apiculteur antibio AB. L’apiculteur raisonné fuit l’agriculteur, le plus perdant dans l’affaire. Est-ce raisonnable ou déraisonné ? Le Moyen Age a bien vu des contaminations, la nature à remplacé les pertes naturellement. Jammy a dit que ça mérite la guillotine si je remonte trop loin en arrière …?

Chaque région avait son abeille, sa souche biologique, entités conservatrices dans un milieu donné, son biotope. Elle vivait dans ses petites cellules qui de nos jour, sont préconisées pour l’abeille africanisée. Dommage que le propriétaire d’abeilles africanisées ne sache pas qu’avec nos grosses cellules actuelles, il pourrait l’éradiquer. L’achat de matériel mondial (reine, essaim) par le modernisme fait disparaître la biodiversité et ne peut avancer vers plus de résistance. L’abeille, par l’apport d’abeilles extérieures a amené des pathologies nouvelles, dont un parasite suceur de sang (le varroa). Le nombre des pathologies a augmenté et envenime l’essaim plus facilement. Nous devons, pour ne pas perdre l’essaim, utiliser des méthodes non naturelles.

 D’autres parasites, d’autres maladies, d’autres virus vont sûrement arriver, commerce oblige. Ces pathologies deviennent plus virulentes car elles trouvent un terrain propice pour évoluer, pour muter. L’industrie, n’aidant pas le miel, est devenu milieu de tricheurs. Biologie moléculaire oblige, on arrive depuis quelque temps a faire la même chose que l’abeille, non visible et presque indécelable. Les ruches n’ont plus à faire du miel. On ne veut plus de l’abeille dans les orangerais car cela est défavorisant pour les clémentines (devenu des oranges). On commence à trouver dans l’apiculture de tout, non naturel. Qui dit baisse des marges, dit débrouillardise. Le miel, élément obligatoirement naturel, est au même point que l’agriculture qui devient de moins en moins nature.

L’apiculteur ne peut revenir en arrière. Parasites et maladies obligent, les coût sont plus élevés. L’industrie n’aidant pas, en profite. Différents miels de certains pays sont bloqués aux frontières (luzerne –fleurs polluées- , lapins interdits, etc.…). Les reines et essaims sont officiellement interdits depuis peu à l’importation. Mais ne passent-ils pas par d’autres circuits ? De toute façon, les produits exogènes sont présents avec leur « viralité » et leur potentiel de pollueurs génétiques. Cela ne rend l’apiculture rentable que sur quelques années. Beaucoup non rien compris. La cire importée des pays (subissant l’embargo principalement), qui devient gaufre pétrolifère pour la construction des alvéoles, est devenue encore plus impropre aux abeilles. Pour supprimer certaines pathologies, il faut chauffer la cire à 360°. On ne peut faire cela avec la cire ou elle n’est plus rien. N’importe quelle cire est importée. La bonne ou la mauvaise.

On peut dire ce que l’on veut. Le plus important pour l’abeille, c’est son élément principal : les fleurs. On  est passe des insecticides ponctuels à des insecticides systémique, soit disant conventionnel (« admis en vertus des convenance sociales, qui manque de naturel », selon la définition du dictionnaire). C'est-à-dire ce que l’on utilisait avant n’est plus toléré. Voir ce que l’on fait comme progrès et dire que ce n’est pas bon après. Vous ne prenez pas conscience que ce n’est pas la solution d’aller de l’avant à votre façon. La rémanence et  persistance dans les sols dure plus longtemps que prévu. La quantité de produit contenu  dans la plante est plus importante que prévu et les doses à la limite du tolérable. Le systémique est fait pour rendre malade l’indésirable parasite. Mais Le produit est présent en permanence dans la plante. Il est donc normal qu’il sorte par la fleur, seule chose qui émane de la plante.

Les nouveaux produits ne sont pas des tueurs mais des gêneurs. Aujourd’hui tout le monde se donne le droit de rendre malade, modernisme oblige. Cela n’est pas beaucoup réprimandé car le plus grave ne l’est déjà pas beaucoup. Je croyais que l’on n’avait pas le droit de mettre en danger autrui dans l’immédiat. Des solutions, il y en a sûrement mais ce n’est pas d’aller de l’avant hors nature. Le paillage de certaine parcelle en n’est une. Calculé au pourcentage d’autres cultures, il ferait vivre l’animal et le végétal même si parfois il ne fleurit pas, cela est naturel. Le paillage, utilisé toute l’année, serait du bénéfice pour la nature (chasse, apiculture, qualité des eaux etc.…….). Le paysan sur  ses tournées de roulement ne serait pas trop dérangé. Mais il faut le vouloir. La seule solution est de contrer le méchant destructeur de rendement par des solution naturelle. On ne veut  pas ça. Ca ne ferait pas vivre les mêmes personnes. On sait pas faire ou on ne veux pas faire. Cela n’est pas assez rentable.

Le 07/2003 adieu jachère fleuris ,le besoin du porte feuille compresse vers la culture alimentaire et non vers le fourrage .Dorénavant vous saurez qu’avec les poches sèche vous pourrez utiliser la jachère(pas pour tous)  qui d’office sera instituer enherbé .La jachère avec ses fleurs et ses graines est morte pour la faune sauvage .Quel ressuscite pour vos troupeaux avec du trèfle blanc apport de vitamines s’il vous plait ,pour nous apiculture la jachère sa eu payer et l’abeille va avoir la gorge sèche dans ce milieu qui va redevenir de nouveau inerte pour elle . Ça me donne raison de ne pas avoir choisit ce métier comme profession. Aléas du temps, aléas chimique. J’ai choisis la profession la plus tranquille conseillée vous savez laquelle.

 Dans les années 80/81/82, un hélicoptère sur colza m’a envoyé mes illusions au panier, j’ai perdu mon investissement. Mon avis, à l’heure actuelle, le résultat sur les abeilles est le même. La méthode scientifique est plus insidieuse car elle ne les tue pas mais les rend malades en changeant leur alimentation. L’abeille est un gardien de l’environnement. Elle filtre le mauvais de tout ce quelle ramasse. S’il y en à trop, elle meurt. L’abeille fait du pain avec le nectar et le pollen pour passer l’hiver. Son aptitude à savoir ce qui est bon ou mauvais est loin d’être à sous-estimer. C’est un insecte intelligent. Il se trouve que là où il y a des plantes sauvages entomophile, il y a moins de problème. S’il y a un problème sur une plante, il n’y a pas de recrutement sur cette même plante. Elle se formalise sur les autres. Par contre, s’il n’y a qu’une seule espèce de fleur, il y a problème. Ce problème est pire s’il y a deux fleurs cultivées et soignées.

Mon expérience avec une fleur de maïs moins attractive car moins rentable pour l’abeille devient encore moins rentable lorsqu’elle est contaminée et rend malade. Ce simple fait diminue son activité à un moment où il n’y a pas d’autre pollen (été). La reprise est très dure et les vols d’artifice à l’automne, que l’on voyait il y a quelques années, n’existent plus. Signe qu’il n’y a pas beaucoup de jeunes abeilles. Mes derniers travaux en date montrent qu’à la reprise de ponte (1 février), l’abeille refait du couvain sans manger le pollen de maïs mis en réserve. Les abeilles meurent en paquet (asticots) par manque de vitamines. Plus d’alimentation glycogène. Il faut 23 pelotes de pollen de 6.5 mg pour faire vivre un bébé abeille pendant 6 jours .Le pollen de maïs est considéré par l’abeille comme moisi parce qu’il est non reconnu ancestralement. Il est pléiotropique. Il faut arrêter de dire que le systémique tue. La publicité sur ce mot ne fait pas avancer les choses (ce qui est voulu par certains info sensationnel ).

Le 31/03/03, la radio annonce 10000 ruches mortes en Allemagne, tuées par les mites. Faux : les mites de l’info. Ce ne sont pas des mites mais c’est de la fausse teigne qui profite de la faiblesse des colonies d’abeilles pour finir de les supprimer. La fausse teigne s’adapte au terrain.

[La faiblesse de l’essaim dans la ruche est augmentée par les parasites, virus, chimie, science, etc… La fausse teigne, papillon parasite mangeur de cire,  devient résistante, génétiquement récessive aux produits, traitements, employés contre les problèmes de la ruche. En mangeant la cire des ruches contaminée par les produits, elle devient du même coup résistante à ses propres maladies. Tous les pollinisateurs faisant de la cire sont touchés par cette prolifération. De l’abeille maçonne à la guêpe solitaire au bourdon, qui lui se défend 50 fois moins qu’une abeille lors d’une invasion. Les lézards en profitent. Le terrorisme dictateur de l’industrie est scientifique. La publicité journalistique faite par des non-apiculteurs, qui eux ne sont pas des abeilles, ne participe pas à la cause des abeilles. L’information n’est pas un poisson mais du poison.]

 Il y a un problème pathologique synergique et d’autres à déterminer. Vous, l’info, vous ne voulez que du sensationnel, « d’utilité public ? » le reste vous est égal. Il est préférable d’avoir des bombes (pneumo apathie atypique rentable), cela fait plus de dégât .Vous n’êtes pas bénévoles de la cause des abeilles. Les abeilles sont rendues malades par des produits qui sont fait non pas pour tuer, mais pour rendre malade l’insecte ravageur de rendement. Et la synergie des problèmes extermine. Les produits actuels vulgarisés dans l’agriculture sont et seront comme les nouveaux gènes inclus dans l’être : des produits qui changent l’être sans tuer, mais qui donne à l’être une identité ou un goût défavorisant pour l’entomofaune, non reconnu ancestralement. (pléiotropique : les mots existent, les problèmes aussi). La flore microbiologique peut changer par la suite dans la chaîne alimentaire.

 Je n’oublie pas qu’une firme à fabriqué des inserts pour régler le problème de parasites que l’on avait a un moment donner. Merci à eux, ils n’ont pas du recevoir beaucoup de reconnaissance. Aujourd’hui les produits de traitement de la ruche sont remplacés par plus naturel. Ce qui est dommage dans tout ça c’est qu’il faut travailler  toujours plus. Ce sont toujours les même s’ils veulent rester nature. Il n’y a pas assez de cohésion.

Personnellement, cela fait 8 ans que j’ai arrêté de mettre du sucre systémique dans mes ruches. J’ai  moins de rapport mais moins de problème. 80% des betteraves sucrière sont traitées. Le maïs, c’est encore pire car ce sont les résidus qui sont mis en circulation (expliquer ). Dans tout ça, il n’y a plus de produit mais des métabolites non définissables, surtout non recherchés car non rentables. Les problèmes de grande culture arrive en Bretagne dans les zones ou il n’y a plus de faune sauvage. Les abeilles ne reconnaissent  plus leurs aliments ancestraux.

 [AVIS aux apiculteurs : un nouveau produit attire-essaim est arrivé sur le marché depuis 2000. Son nom « Pollinus » (Fabrication : société Calliope - 64150 Noguères. Testeur du produit : Testapi - 49350 Gennes). Je l’ai essayé : ça marche à 100%. Il est conseillé par l’INRA. Le distributeur : un industriel peu scrupuleux dans sa grande cellule. Pour plus de renseignements : revue « L’abeille et fleurs » -  n°638 - avril 2003 - page 16. Merci pour la pub ! C’est comme cela qu’il faut que l’on avance. Bonne vulgarisation. Ça piège les abeilles comme des mouches. Cela marche aussi pour le blé. Nouaison meilleure, fruit plus gros donc rendement plus élevé. Par contre, le manque de rentabilité actuel de l’apiculture à cause de problèmes scientifiques mais non commercialisables fait que ce produit arrive trop tard. Il n’y a pas beaucoup d’essaim à ramasser. Pourquoi ?] 

Génétique apicole : un croisement en apiculture est le mariage de deux races. Pour avoir plus de rentabilité. Une nouvelle identité qui travaille avec deux moitié de cerveau différentes. Une échéance dans le temps qui annule ce qui a été gagné. Il faut recommencer à l’infini avec les deux anciennes bases de travail, deux souches pures. La pollution génétique des descendances décevantes avance vers une hybridation  nulle de tout les secteurs. Le biotope est cassé et la biodiversité annulée. Les parasites et les maladies trouvent un terrain propice car les pratiques modernes facilitent la contamination.

L’industrie n’arrange pas car elle donne des bases non naturelles aux abeilles de différentes races. L’apiculture est mise dans un seul moule et cherche à ne pas évoluer vers une perte de leur profit.  Le fait que le biotope soit cassé et la biodiversité annulée et que les croisements casse la biodiversité biologique, l’ordinateur biologique ancestral n’est plus. Il n’y a plus de possibilité d’évolution contre un parasite ou une maladie tant qu’il n’y aura pas plus de naturel . QUELQUES SOLUTIONS : grilles à mâles à l’entrée des ruches hybrides étrangères. Date de sécurité pour ouverture de ces grilles. Mettre une grande partie d’un secteur sans hybrides puis l’agrandir d’année en année. L’abeille locale, avec son biotope et biodiversité, retrouve son cerveau et peut aller vers l’évolution la plus apte. Malgré quelle soit moins rentable.

 [Formation /Ecole /Avenir

La formation d’apiculture dans les écoles est revenue à la mode. Il y a de la demande. Formation hors terrain, hors contexte sur des bases optimistes du modernisme. Du sang neuf, aidé à l’installation et qui se fait torpiller au fur et à mesure de leur vieillesse par du sang de nouveau remis à neuf. L’aide à l’installation n’est pas mangé jusqu’au dernier rond, l’époque est trop morose pour investir. Avenir précaire, milieu hostile, rentabilité de pain rassis, faire ressortir une marge nul sans compensation des pertes par les assurances. Prouver les pertes : néant, fantomatique. On n’est pas scientifique et la synergie des problèmes fait le reste. Il y a du travail, oui , dévalorisant, oui , le moral est bas, oui. Solution : Se battre contre le vide du profit, ne plus rien devoir de notre ardu travail. Vivre comme une abeille pour soi. Construire un chez soi et se retrouver hors de soi, pour des casseurs hors la loi, pas une formation de vie … une mort ?]

 A - - - . - - - fr. free     350526

                                     Attendez la Suite    5

 

Auprès de mon arbre je vivais heureux

Auprès de mon arbre je vis tout peureux

Auprès de mon arbre je n’ai plus de queue

Auprès de mon arbre je vous fait tout mes voeux        

Auprès de mon arbre je vous veux tout joyeux

Auprès de mon arbre………………..

  

Le chagrin des abeilles : Ne plus retrouver sa pitance dans sa cellule et mourir en prison abandonner pour la faim de l’être.

 

Le 25 09 03 le débat téléviser de José : le débat n’a porter que sur le pollen pour disséminer les OGM .Il n’y a pas que le pollen qui transporte les OGM ,la terre transporte les OGM,le ciel transporte les OGM, l’air transporte les OGM,les plantes transporte les OGM, l’eau transporte les OGM, la mer transporte les OGM, le pollen transporte et peut sur quelque triar de possibilité marier deux OGM ensemble .On a pas a être scientifique pour le savoir on est nous même des OGM le danger est de se faire replacer par les OGM dans la chaîne alimentaire .José tu doit dire la prochaine fois que des scientifiques fond de la datation dans la banquise avec des grains de pollen disséminer par le vent depuis la nuit des temps .Je suis apiculteur depuis l’age de mes douze ans , je suis un accros des abeilles,et ma première demande étais de faire prof de biologie ,je sais que le pollen peut conserver son pouvoir germinatif très longtemps .De toute manière il y a d’autre manière de copuler le kamasoutra vous connaissez ,alors venez sur mon site cliquer sur les photo pour les agrandir elles vous explique tout en détail .http://christian.grasland.free.fr . merci les bonnes adresse

 

je vais lancer un nouveau débat Une loi vient de passer le 22 septembre sur la traçabilité OGM Que penser vous de cette loi (visite au www journal officiel ) Pour vous donner une idée :tout les apiculteurs de France vont devoir mettre miel OGM sur leurs pots de miel en raison qu'il ne savent pas ou vont butiner leurs abeilles .c'est déjà pour cette raison qu'un apiculteur ne peut pas mettre miel bio sur le pot ,pas de pot . S'il ne le font pas ils sont hors la loi, sauf s'ils ont fait une analyse de chaque rucher payante aux scientifiques c'est de l'agriculture raisonner durable.. Personnellement ils devraient mettre BIO-OGM de toute façon le bio est mort pour l'économie durable ça dure et il n'y a pas de faim ?

 

actinidias thumida dans nos ruches en Bretagne

Aethina tumida 

Dans la famille des dermestidae

Je connais glabripennis depuis mon enfance avec un nom pareil 8mm pas grand

Je connais lardarius dermeste pour l’avoir élevé larve et adulte 8mm

Je ne connais pas l’attagemus pelios de 6 mm (attagène)

Maintenant il y a aethina tumida celui la, il n’est pas a sa place

 

Après avoir mangé tous les fruits pourris d’un secteur, s’il trouve une ruche il s’installe et par la suite, il établit le gîte et le couvert.

 

En 2001 J’en ai récupéré une dizaine dans les Côtes d'Armor, région Merdrignac (pas de bonne photo sur les journaux pour déterminer la bête  )

En 2002 une quinzaine dans les  Côtes d'Armor Merdrignac, Mauron Morbihan ( Malgré avoir passer les infos plus haut rien n’a été déterminé )

En 2003 J’en ai récupéré une centaine dans les Côtes d'Armor Merdrignac, Mauron Morbihan, Rennes Ille et Vilaine ( je passe l’info )

 

Le principe est le suivant, trouver une bestiole inconnue ma parue intéressant. Surtout ne la voir que dans un secteur donné, après il faut trouver ce que c’est et la ce n’est pas facile. Ensuite il faut remonter l’information et l’on n'est pas écouté aucun suivie pour trouver le nom. Aujourd’hui ça prolifère dans l’anonymat. J’ai trouvé quinze individus à Vezin  Ille et Vilaine chez un confrère dans une ruche vide orpheline. Les insectes étaient sur les cadres de pollen de maïs récolté en fin de saison. Dernièrement lors d’une visite sanitaire a Fougère on a  trouvé un insecte qui a été  écrasé de suite par mon binôme, dommage ? Je n’ai pas cherché à reconnaître les larves qui se confondent avec celle de la fausse teigne, inconnu pour moi aujourd’hui. Je n’ai pas acheté d’abeilles australiennes, juste récupérer quelques essaims

 

Résultat : le commerce international nous fait voir ce qui en  coûte au commerce local : Revaloriser une abeille étrangère ne génère pas que du bénéfice, le nouveau parasite qui a véhiculé avec les abeilles véhicule une nouvelle misère. Le maïs avec ses nouveaux ravageurs eux même importés, a chaque bestiole véhiculée, un OGM à mettre sur la table est-ce la solution ? Pour l’abeille, pareil un nouvel ôte un nouveau traitement tisse la toile du démoniaque. On a pourtant de l’expérience avec varroa ce n’est plus un clandestin. Que se soit les chenilles processionnaires (non rentable économiquement d’en parlé, le varroa (le suceur d’hémolymphe), aethina tumida (qui sera son cousin ), diabrotica ( le mangeur de maïs ), la grenouille taureau envahissante et supplantant  http://www.cistude.org ), la liste est longue. J’ai mis un point les autres vous me les envoyés ils passeront peut être sur le site (lien « mange de tout »si c’est bon sauf……)

 

La diversité est détruite les plants et les animaux exogènes, eux  prennent une place dans le biotope non voulu mais irrémédiable. La mise en règle de la commercialisation mondiale véhicule la planète vers un seul biotope « la terre modifiée ». Une fois que la terre de la planète aura retrouver une autre diversité elle mettra au rang de parasite l’humanoïde « le  mangeur de vie ».

 


 

 

 

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