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Paysans : Mère deau

 

La planète tourne, la planète vit, ceci est un commencement .Depuis que cela bouge sur cette terre, cela n’a pas cessé d’évoluer. De ce magma est sorti la vie : le règne animal a suivi. La marche en avant a fait survivre les plus forts et disparaître les moins chanceux. La vie ne tient qu’à un fil : celui du plus apte. L’évolution a vu beaucoup de chose, elle a crée au sein de cette nature, un équilibre appelé : chaîne alimentaire. Intégrant le végétal et l’animal très simple : pas d’aliment pas de survie, pas de multiplication, pas de descendance. D’où une augmentation de la pression du chasseur par rapport aux ressources alimentaires. L’homme singe ne dérogeait pas à cette règle. L’évolution l’a fait devenir de plus en plus intelligent. Son « ordinateur » le fait se servir de son environnement à son avantage. Il s’intègre, convoite le pouvoir, et trouve le progrès. Il est  multiplicateur, accélérateur de croissance. Il cherche à dominer l’élément , devient inventeur et son matériel est de plus en plus sophistiqué. On en vient à l’industrie mécanique et chimique. Il est humain ! Bientôt  humanoïde, allez savoir ?!

Il y a quelques temps, venues de la mer des galettes échappées du « Prestige » grippent certains rouages. Le navire qui les transportait était rouillé. La vieillesse et l’usure mettent toute chose sur un pied d’égalité. Même dans l’espace, l’usage non unique d’engins bien plus perfectionnés que le Concorde pose des problèmes d’usure. Le fait d’avoir emmener le navire sombrer au large a fait profiter le plus de monde possible de la pollution engendrée. Le navire aurait été ramené à terre, la pollution aurait été plus localisée, donc plus facile à éliminer  à un moindre coût  et avec une détérioration plus légère de la nature Bien sûr, la réparation revient aux assurances. Par relations et  débrouillardise inventive,  la perte de la  cargaison sera compensée par des tricheurs  et des brouilleurs de cartes. Est-ce normal ? Vous ne passez pas par vos relations, vous, pour vos petites magouilles. Ce n’est pas d’avoir deux coques pour ces bateaux qui va changer quelques choses : rentabilité oblige, même la qualité des matériaux peut influencer. De plus, les navires pourront être plus gros plus lourds donc plus polluants. L’absence de contrôle par manque de moyens techniques et humains ne va pas arrêter les dégazages sauvages. Il faut faire payer les pollueurs qui sacrifient la sécurité à la rentabilité. Cela devrait  être une guerre où il faut aller s’engluer, tout casser, et leur prouver qu’il faut payer. Ils font en sorte de ne pas aller le chercher ce résidu de fioul pour que l’on ait à le ramasser. Cela est un  jeu d’échecs, car le bénévolat est une nouvelle armée moins exigeante moins contrôleuse dans leur ordinateur commercial. Pas assez cher ! Cette solution est calculée plus favorisante. Pourquoi acheter tout un matériel,  un équipement, prévoir de payer de la main d’œuvre, quand on peut calculer pour faire mieux, de manière plus rentable, en laissant venir là où çà fait mal pour beaucoup d’entre nous, tant au plan de notre travail que de nos vacances. Dans quelque temps, il y aura des barges à couler avec de la farine OGM, nourriture pour poisson. Si la nature du transport transgénique l’est pour ses qualités insecticides ou une résistance à des produits chimiques, ce ne sera pas des plaques de fioul qui flotteront. Bénévoles, préparez vos « chadocs » et panier à cadavres, merci pour la nature et de tout ce que vous faites. De tout cœur avec vous.

Le liquide appelé eau que l’on peut appeler flotte, je préfère la rebaptiser «  mère deau ». Sous prétexte qu’elle a été reçue déjà dénaturée, elle nous est redonnée certes légèrement améliorée mais privée de ses vertus ancestrales. Pourtant, depuis quelques temps, on  est bien obligé de cuire nos aliments avec la  « mère deau » de la ville. Même si le goût n’est pas défalqué de l’imposition. Mais pour le polluant, qu’en est-il ? Mettre du sel sur les routes, en cas de verglas à titre préventif abîme l’eau mais c’est primordial :  Il ne faut pas mettre en danger autrui, ni nuire au bon fonctionnement de notre société. Il faut que ça tourne, problème moderne, cela énerve beaucoup de ne pas pouvoir bouger. Mes aïeuls n’étaient pas si énervés.

Certains scientifiques ont décidé de  nous faire manger du saumon  O.G.M. Il grossit plus vite donc il mange plus vite et se reproduit plus vite. Est-ce qu’il meure plus vite ? Attention danger ! Ce saumon s’il  se transmet dans la nature, qu’adviendra-t-il de vos gardons et tanches ? Il n’y aura peut être plus de poissons dans la mer, peut être restera-t-il le seul. On n’a pas fini de manger du saumon. A signaler : il existe des élevages de tacauds nourris de farine OGM, venant de maïs génétiquement modifié (gène insecticide dangereux pour la vie ). Une quantité incroyable de cette farine se promène par ignorance dans le monde et met en danger autrui. Notre «  mère deau » est testée par des truites jouant le rôle d’indicateur biologique de polluant (un carnassier). Bientôt il n’y aura plus que du saumon O.G.M. Pas de problème, vous serez devenus O.G.M, vous aussi. Il n’est pourtant pas loin le temps des limnées. Cela ne fait que quelque temps qu’elles ont disparu de mon secteur. Cet escargot qui rampe et qui flotte à l’envers sous la surface de l’eau grâce à ces poumons  (il me manque. Mettez-la dans la « mère deau »et regardez). Regardez bien les tritons qui commencent à disparaître de nos fossés. Mettez les dans « la mère deau » du robinet, leurs branchies ne les font pas vivre longtemps. Ce sont des carnassiers… Est ce un indicateur biologique ? Les derniers tritons que j’ai vu avec mon gars à Saint-Malo, nous étions content de les contempler. La loi interdit de mettre un têtard local en bocal mais laisse bien d’autres animaux entrer dans le pays, permettant ainsi l’arrivée de grenouilles envahissantes supplantant les autres. De même, certaines herbes résistantes sont implantées involontairement et de manière irréversible dans la mer : commerce oblige.

L’homme veut  changer la nature. Je vous vois faire de votre maison un lieu propre et aseptisé, artificiel. A la saison des vacances, vous abandonnez pourtant ce cadre, pour vivre en un milieu plus naturel. N’hésitant pas à vivre en concentration sur le sable ou la neige, pourquoi donc ? Ces éléments, qui, sans les vacances ne seraient aucunement rentables.

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